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Ce blog se propose de faire découvrir quelques films muets
moins connus depuis les débuts du cinéma jusqu'en 1930 environ (à ce jour plus de 1'000 films, serials et shorts ...) ainsi que quelques films sonores. Le but était de lister 1'000 films incluant un descriptif ainsi qu'un commentaire écrit sans prétention. C'est chose faite depuis la fin janvier 2022 !

Déclencheur de ce blog, le premier message daté du 09.06.2010 :
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mardi 29 septembre 2020

The Man from Headquarters - Duke Worne - 1928

 


Le Duc Albert est incognito dans un train qui roule à toute vapeur. En sa possession, une lettre d'une extrême importance pour son pays. 

Quatre hommes attendent le moment propice en fumant dans le wagon-salon avant de se rendre dans le compartiment du Duc qu'ils assassinent. Le porter entend l'altercation et court prévenir le chef de train. Tous deux pénètrent dans le compartiment où tout semble normal jusqu'au moment ou le chef de train voit une cigarette se consumer entre les doigts de la victime qui ne bouge pas. Aussitôt l'alerte donnée et le frein d'urgence actionné, les quatre voleurs disparaissent dans la nuit en bondissant hors du train.


A l'arrivée en gare, un détective, Yorke Norray monte à bord du train pour rencontrer le Duc. Il découvre dans sa main la moitié de la lettre tant convoitée et enquête afin de retrouver l'autre moitié.

Au cours d'une soirée, il fait la connaissance de la Comtesse Jalna, qui est à la recherche l'autre moitié de la fameuse lettre que ses hommes ont arrachée au Duc. Après avoir flirté, elle réussit à piéger Yorke et à s'emparer de la moitié en sa possession ...

 


Je m'arrête là, la suite est extrêmement lente et je ne suis pas sûre devoir tout compris. Le début est par contre bien monté et intriguant mais la suite donnée est assez soporifique. De plus les images sont floues, il est impossible de lire les extraits de lettre écrits à la main. Tout cela fait qu'il est difficile de déterminer qui travaille pour qui ...

60 minutes


Cornelius Keefe ... Yorke Norray

Edith Roberts ... Countess Jalna

Charles West ... No. 1

Lloyd Whitlock ... No. 2

Ludwig Lowry ... No. 3

Wilbert Emile ... No. 4

Dave Harlow ... No. 5

Fred Hueston ... Duke Albert (as Fred Huston)

Joseph P. Mack ... Wilkinson (as Joseph Mack)

 


jeudi 5 février 2015

Saturday Night - Cecil B. DeMille - 1922



Shamrock O'Day rêve de richesse. En étendant sa lessive elle imagine que la corde est un collier de perles géantes. 
De l'autre côté de la balustrade, Tom McGuire enfile son costume de chauffeur et s'apprête à conduire Iris la richissime nièce Van Suydam. Il serre dans sa main un mouchoir qu'elle a laissé tombé et le hume quelque temps avec délice.
Iris ne rêve que de posséder un petit cottage où elle se voit cultiver quelques légumes et ce malgré le fait qu'elle soit sur le point d'être fiancée à Richard Prentiss, un homme immensément riche.
Shamrock va livrer le linge à la soeur de Richard, Elsie. Comme la femme de ménage est en train de nettoyer les escaliers de service, elle décide effrontément d'utiliser l'entrée principale et l'escalier monumental qui monte aux chambres. Arrêtée par le Majordome, elle s'enfuit et trébuche avant de rouler en bas des marches. Richard la découvre à terre et s'amuse de la voir si empruntée. Sa soeur se montrant outrée de le découvrir avec la lavandière il décide de ramener Shamrock chez elle, oubliant qu'Iris devait passer le prendre pour aller pique-niquer.
Lorsqu'Iris arrive au volant de sa voiture, son chauffeur Tom installé à ses côtés, Richard lui demande de l'attendre quelques minutes le temps d'un aller retour. Mais Iris n'est pas le genre de femme à attendre quiconque. Voyant que Richard s'intéresse à Shamrock elle décide de partir avec son chauffeur et conduit à tombeau ouvert. Comme la route est barrée elle décide de passer par le pont de chemin de fer oubliant tout bon sens. Un train arrive et Tom n'a que le temps de saisir la jeune femme et de se suspendre en dessous du pont tandis que le train passe en propulsant la voiture quelques dizaines de mètres plus bas.
Reprenant conscience après que Tom en ait profité pour l'embrasser, Iris tombe amoureuse de son chauffeur.
De son côté Richard revoit Shamrock au cours d'une soirée mondaine durant laquelle il provoque les quolibets de ses connaissances en dansant avec la jeune femme. Elsie, choquée, en profite pour annoncer ses fiançailles avec Iris mais les deux jeunes gens ne se montrent pas très enthousiastes.
Tom et Iris se marient et son oncle la déshérite croyant Tom intéressé par la fortune Van Suydam. Il n'en est rien et le jeune couple s'installe dans le petit appartement de Tom. La vie est moins drôle qu'elle se l'imaginait, Tom part chercher du travail tandis qu'Iris reste à la maison.
De son côté Richard épouse Shamrock qui ne sait pas se tenir en société. Elle ne manque pas une occasion de faire des bourdes ...



Comédie douce amère sur les différences de classes. Les deux travailleurs sont plutôt à l'aise en toute circonstance. Les enfants gâtés sont les plus difficiles à contenter, leurs éducations les empêchant de prendre les choses comme elles sont surtout à cause des conventions sociales.
Le destin est un outil important dans le scénario qui s'amuse à virevolter avec légèreté avant la fin qui tourne au drame en apportant le dénouement final. Ainsi les deux gosses de riche sont très amoureux de leurs époux respectifs qui, de leur côté, emplis de bon sens, décident qu'ils ne peuvent pas vivre dans un monde qui les empêche d'être eux-mêmes sans se prendre la tête.

Si on s'amuse un peu au début, les choses se corsent assez vite. Iris fait de gros efforts pour plaire à son mari qui dans le fond se montre très macho. Pour illustrer les différences sociales on passe de scènes dans le petit appartement de Tom et Iris aux grosses bastringues données par les Prentiss, dont celle donnée le soir d'Halloween. Ce jour particulier est bien choisi, car tout va se jouer le même soir, les masques vont tomber !
Le luxe contraste fortement avec la simplicité, les protagonistes tentent bien de se fondre dans le décors de l'être aimé mais ce sera sans succès.

Un film tragi-comique avec une fin surprenante et sans concession. Iris et Richard auront de la peine à se remettre de leur aventure tandis que Tom et Shamrock retomberont très vite sur leurs pieds. L'amour n'aura pas suffi, les convenances seraient les plus fortes selon M. DeMille.

90 minutes

Leatrice Joy ...
Iris Van Suydam
Conrad Nagel ...
Richard Prentiss
Edith Roberts ...
Shamrock O'Day
Jack Mower ...
Tom McGuire
Julia Faye ...
Elsie Prentiss
Edythe Chapman ...
Mrs. Prentiss
Theodore Roberts ...
Uncle
Sylvia Ashton ...
Mrs. O'Day
John Davidson ...
The Count Demitry Scardoff
James Neill ...
Tompkins
Winter Hall ...
The Professor
Lillian Leighton ...
Mrs. Ferguson


lundi 14 mai 2012

Roaring Rails - Tom Forman - 1924



Harry Carey ...
Big Bill Benson

Frankie Darro ...
Little Bill

Edith Roberts ...
Nora Burke

Wallace MacDonald ...
Malcolm Gregory

Frank Hagney ...
Red Burley

Duke R. Lee ...
John McFarlane (as Duke Lee)

70 minutes environ

Durant la première guerre mondiale, près de Chateau Thierry en France. Les combats font rage et un soldat Bill Benson (Carey) aperçoit une femme qui vient juste d'être mortellement touchée. Près d'elle se trouve un petit garçon. La pauvre femme l'implore de bien vouloir sauver son fils ...
Quelques temps plus tard, nous retrouvons Bill qui a repris le cours de sa vie d'avant la guerre et conduit une locomotive. Soudain la boite à outils s'ouvre et le Petit Bill (Darro) en sort. Caché à l'insu de Bill avec l'aide du copilote, petit Bill promet de descendre au prochain arrêt. Bill actionne le frein de la locomotive et petit Bill manque tomber sur les rails. Heureusement Bill le rattrape in extremis et ce faisant il rate un signal qui lui intime l'ordre de s'arrêter. Un train se profile à l'horizon et c'est l'accident catastrophique. Bill est jugé va être poursuivi. Le petit Bill qui comprend alors dans quel pétrin il a mis son père adoptif avoue tout. Les poursuites sont abandonnées.
On retrouve Bill et petit Bill plus à l'Ouest, là où la compagnie Overland Union pressée par le temps construit les voies qui lui permettront de décrocher le contrat d'exploitation. Bill n'a plus que quelques centimes et envoie le petit garçon s'acheter quelque chose à manger dans le café que tient Nora Burke (Roberts). Celle-ci prend le petit bonhomme en sympathie mais petit Bill en profite pour dérober quelques daughnuts supplémentaires pour son père. Bill le ramène au café en proposant de payer pour la marchandise volée. Nora les prend en pitié et demande à son père d'engager Bill qui va donc travailler dans la construction du chemin de fer pendant que petit Bill tournicote auprès des travailleurs au grand déplaisir du contremaitre, un géant nommé Red Burley (Hagney) qui se montre brutal avec le petit garçon et qui est payé pour freiner les travaux par le fils du constructeur rival, Malcolm Gregory (MacDonald) afin que le contrat ne leur soit pas attribué. Petit Bill fait une grosse bêtise : il s'introduit dans le wagon bureau et renverse une bouteille d'encre sur les plans ce qui rend le responsable local (MacFarlane) furieux. Il demande à Bill de choisir, soit il place petit Bill soit ils s'en vont tous les deux. Petit Bill se méprend sur les intentions de Bill et décide de s'en aller. Malheureusement il arrive au moment ou Burley fait sauter un pont et il perd la vue dans l'explosion. Bill doit trouver une grosse somme d'argent pour opérer le petit Bill et décide de prendre le meurtre de MacFarlane perpétré par Gregory juste après son départ à son compte et Gregory trop heureux d'échapper à la justice lui promet de s'occuper de l'opération du petit garçon et d'en prendre soin ...


Récemment joliment restauré par le George Eastman House à New York, ce film est plaisant à regarder. L'action bien que très mélodramatique est constante et les protagonistes s'en donnent à cœur joie.
La scène où Harry Carey comprend qu'il s'est fait duper par Gregory est terrible, j'ai bien cru qu'il allait se casser quelque chose : devenu comme fou il tape des poings sur les murs et se jette contre les barreaux de sa cellule.
Le paroxysme du mélo est atteint lorsque nous découvrons le pauvre petit Bill enfermé et étouffant dans la cabane enfumée de l'affreux Burley qui est victime du propre feu qu'il a lui-même allumé ... RRRhhhaaa ...

Harry Carey est à la hauteur de ce rôle dans lequel il se montre solide et très attaché au petit Bill, Edith Roberts est charmante dans le rôle de Nora, la jeune femme qui s'attache aux deux Bills, Frankie Darro est mignon tout plein et passe la moitié du film les yeux clos et Frank Hagney fait peur dans ce rôle de grand gaillard costaud toujours en train ou sur le point de flanquer une dérouillée à quiconque contrariera ses projets ou au petit garçon (il faut avouer qu'il a le physique de l'emploi).

Il manque la partie où 10'000$ sont offerts à quiconque pourra conduire la locomotive à Fairfield. Partiellement teinté.









vendredi 27 janvier 2012

Flesh and Blood - Irving Cummings - 1922


Lon Chaney ...
David Webster
Edith Roberts ...
The Angel Lady
Noah Beery ...
Li Fang
DeWitt Jennings ...
Detective Doyle
Ralph Lewis ...
Fletcher Burton
Jack Mulhall ...
Ted Burton
Togo Yamamoto ...
The Prince
Kate Price ...
Landlady
Wilfred Lucas ...
The Policeman

env 70 minutes


Un prisonnier s'évade. L'alarme est donnée au pénitencier mais Webster (Chaney), c'est son nom, bénéficie de l'aide de chinois menés par Li Fang (Beery), un homme qui se sent redevable parce que Webser l'avait aidé il y a bien longtemps. Caché à Chinatown il est suivi de près par le détective Doyle (Jennings) qui se doute qu'il se terre dans les parages. 
Accusé à tort d'un crime qu'il n'a pas commis et cherchant à se venger de Fletcher Burton, l'homme qui par son faux témoignage l'a fait incarcérer, Webster se fait passer pour un estropié et commence par tenter de localiser sa femme et sa fille (Roberts) qui ont changé de nom pour éviter le scandale. Trop tard sa femme vient de décéder et il perd la trace de sa fille qui s'appelle désormais Vaughn et qui croit être dès lors orpheline. Toutefois le destin fait bien les choses car alors qu'il se repose dans une mission il reconnait sa fille surnommée The Angel Lady et qui est courtisée par Ted (Mulhall), le propre fils de Burton ....



Un peu tiré par les cheveux, même si de nombreuses scènes sont plutôt jolies à regarder. Lon Chaney est très expressif comme toujours mais la manière dont il tient les jambes ne parait pas plausible et semble être particulièrement pénible. Il est de même un peu curieux qu'il ait attendu si longtemps avant de s'évader (mais on fait ce qu'on peut dans ces cas-là !) et surtout qu'il arrive tout à coup à faire abstraction de la vengeance qui l'a nourri pendant si longtemps à la fin. Cela me parait quand même peu plausible, même si on nous dit qu'il retourne de son plein gré en prison plus libre qu'avant.  Dans le cas présent l'incarcéré est quand même innocent. Le film tente donc de nous faire croire qu'en ne dénonçant pas le faux témoignage du père pour préserver le bonheur des enfants, Webster se libère. Un esprit libéré allège certainement les conditions, mais selon ce schéma l'esprit du père Burton devrait commencer à être torturé ce qui n'arrangera pas non plus les enfants. Et de toutes manières peut-on éviter les aléas divers d'une vie, ou faut-il les éviter (plus compliqué encore : doit-on cacher la vérité à quelqu'un afin de lui éviter de souffrir - d'ailleurs comment savoir ce qui fait réellement souffrir autrui - En allant plus loin encore, n'empêche-t-on pas une chance d'évoluer en évitant la souffrance ?). Alors dans le fond qui peut dire ce qui vaut mieux ?

Je ne suis peut-être pas très équitable, notez, car j'ai vu ce film tout de suite après Les démons de la liberté (Brute Force) de Jules Dassin 1947 sur un univers carcéral particulièrement violent et qui termine par ces mots terribles : "personne ne s'échappe. Personne ne s'échappe jamais vraiment". [last lines] Dr. Walters: Nobody escapes. Nobody ever really escapes. 
En parfaite contradiction avec le film sus-mentionné sur la forme, mais pas incompatible sur le fond.


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